Portrait en cinq questions #4 : Mélanie

Qui es-tu, d’où viens-tu ?

Je m’appelle Mélanie, j’ai vingt-huit ans ! j’ai grandi à Saint-Maur-des-Fossés, en banlieue parisienne et j’ai de la famille au Pays Basque, où j’ai un peu vécu et rêve de retourner. J’ai d'ailleurs commencé l’impro à Bayonne, où j‘ai rencontré Maya. Je l’ai retrouvée à bordeaux l’an dernier dans une épicerie solidaire, Supercoop. Je travaille à la croix rouge et je fais partie de 3 asso !

Quelle est ton histoire avec Atlas ?

J’ai pas mal bougé et depuis que j'ai commencé l’impro à Bayonne, j’en ai fait à Amiens et maintenant avec Atlas.

Qu’est-ce que t’apporte le théâtre d’improvisation ?

Ça me permet surtout de rigoler ! L’impro, c’est parti sur du rire pour moi et puis j'ai appris que c'était plus compliqué que ça car l'écoute est primordiale. C'est un jeu d'adresse hyper intéressant sur plusieurs dimensions, et surtout ça apprend comment communiquer. C'est aussi du théâtre avec de l'expression corporelle ... et j'adore la vision de Charlotte, qui voit ça comme un vecteur de partage interculturel.

Peux-tu me raconter une anecdote vécue pendant un spectacle ?

Pendant un spectacle, j’ai dû mourir, parce que la régie n'avait pas compris qu'il fallait éteindre la lumière. Du coup, j'ai fait un truc nul à la Marion Cotillard dans Batman, mais au final c’était drôle… Je crois. Moi ça m’a beaucoup fait rire.

As-tu en tête un mot particulier qui n’a pas d’équivalent en français ?

Aloha !